Quelles sont les véritables raisons du refus d’intégration des PRAG, des PRCE et des enseignants contractuels du supérieur parmi les bénéficiaires du RIPEC ?

Si, comme le MESR l’a affirmé à quelques vrais et faux naïfs (mais pas au SAGES, ni en audience en juillet 2022, ni au CNESER en septembre 2022), il y a vraiment une impossibilité juridique d’octroyer le RIPEC aux PRAG, aux PRCE, et aux enseignants contractuels du supérieur (ce qui n’est pas l’avis de la CDEFI), l’administration va devoir en apporter la preuve dans ses écritures en défense relatives aux recours du SAGES avant la fin du mois de mai 2023. Mais jusqu’ici, l’administration n’a encore jamais étayé ces affirmations (les recours du SAGES font suite au refus implicite de l’administration, au bout de deux mois d’absence de réponse, pas à un refus explicite et argumenté de sa part). Comme annoncé dans notre profession de foi relative aux élections dans le collège B du CNESER, le SAGES mettra en ligne les arguments de l’administration pour s’opposer à l’octroi du RIPEC aux PRAG, aux PRCE et aux enseignants contractuels du supérieur, ainsi que les arguments du SAGES y répliquant.

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